Quand un échec devient une force !
À 20 ans, j’ai créé ma première entreprise. J’étais pleine d’ambition, de rêves, et prête à déplacer des montagnes. Mais quelques mois plus tard seulement, j’ai dû faire face à une réalité difficile : fermer cette entreprise.
À cet âge-là, un échec peut sembler insurmontable. Je me souviens de cette sensation : un mélange de honte, de déception, et cette question lancinante : “Qu’est-ce que j’ai raté ?” Je croyais que tout était terminé, que cet échec définissait ma valeur et mon avenir. Mais la vérité, c’est que ce moment n’était pas une fin. C’était un début.
💡 Ce que j’ai appris ?
- Parfois, la meilleure décision, c’est de savoir s’arrêter avant de s’épuiser. Reconnaître que ce n’est pas le bon moment ou le bon chemin demande du courage.
- Un échec, ce n’est pas une finalité. C’est une étape, une opportunité de se recentrer et de grandir. Chaque chute est une chance de regarder les choses sous un autre angle.
- Chaque expérience, même difficile, laisse des enseignements précieux pour la suite. Ce que j’ai vécu m’a appris à me connaître, à comprendre mes limites et mes forces.
Cette aventure, aussi courte et intense soit-elle, m’a transformée. Elle m’a permis de redéfinir mes priorités et de tracer un chemin plus aligné avec mes valeurs. Aujourd’hui, j’accompagne des entrepreneurs parce que je sais ce que ça fait de douter, de trébucher, mais aussi de se relever.
Fermer cette entreprise n’a pas défini mon échec. Cela a défini mon rebond. Ce n’était pas une fin d’histoire, mais une page qui se tournait pour écrire un nouveau chapitre, celui où je construis avec encore plus de résilience, de clarté et d’envie.
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